Je vous prie de bien vouloir m'excuser pour la gêne occasionnée

Christophe Caubel voit ce qui nous regarde mais qu’on ne veut pas voir.
Explication.
Il y a les photographes qui font des photos qui ressemblent à des photos. Ceux-là, on les oublie.
Il y a les photographes qui voient ce qu’on ne voit pas: il y en a déjà moins. Faiseurs de miracles, ils nous rendent la vue. On pourrait citer des noms. Caubel, lui, c’est autre chose.
Il pourrait faire partie de cette catégorie, mais avec lui on préfère rester aveugle à ce monde pas joli joli. Pourtant c’est bien cadré, tout ce qu’il faut, mais voilà, c’est pas fait pour plaire, ça nous accuse de plein de choses, ça nous regarde et ça nous regarde.
En plus, c’est pas donné.

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"Je vous prie de bien vouloir m'excuser pour la gêne occasionnée"
Une exposition de Christophe Caubel
21 sept - 16 nov 24